TfL (Transport for London) annonce un grand projet pour améliorer la mico-mobilité électrique dès 2026

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Le plan pan-London de micromobilité en préparation

Transport for London (TfL) et les conseils de Londres envisagent la mise en place d’un schéma pan-London de micromobilité pour les vélos électriques et les trottinettes électriques. Ce projet vise à harmoniser la conception et les règles des schémas, renforcer les contrôles, améliorer la conformité en matière de stationnement, les comportements des utilisateurs et la sécurité.

Lancement prévue pour 2026

D’après des documents du conseil de Hounslow partagés sur X (Twitter), le contrat devrait devenir opérationnel début 2026. Le contrat proposé par TfL couvrira les deux formes de micromobilité avec une “orientation vers les vélos électriques”. Une approche de stationnement obligatoire sera mise en œuvre à l’échelle de Londres, avec une limitation de la flotte à l’échelle de la ville.

Le document indique que TfL tirera des enseignements de l’essai actuel de trottinettes électriques et des opérations dans les arrondissements, mais une équipe dédiée de TfL gérerait le contrat et les opérations, avec une solution de données pour vérifier les données de manière indépendante.

Des problèmes actuels avec les opérateurs

Actuellement, l’essai de trottinettes électriques de TfL est opéré par Voi et Lime. Cependant, Voi a récemment déclaré qu’il pourrait devoir se retirer de l’essai car il “ne peut pas rivaliser” avec les vélos électriques en location de la capitale, qui ne sont pas régulés, permettant aux entreprises de déployer autant de vélos qu’elles le souhaitent, où elles le souhaitent.

Dott a également blâmé “la montée rapide et non régulée des vélos électriques” pour sa décision de retirer ses trottinettes électriques de Londres plus tôt cette année. L’opérateur avait auparavant également retiré ses vélos électriques de la capitale.

Soutien combiné pour ce nouveau plan

Henri Moissinac, directeur général, a déclaré : “Londres est le seul endroit où vous avez deux modes côte à côte – l’un régulé par TfL, les trottinettes, et l’autre totalement hors de contrôle, le vélo électrique”. Il a ajouté que Dott soutiendrait “à 100% TfL dans la gestion d’un schéma combiné – à la fois trottinettes et vélos électriques, avec le même périmètre et les mêmes règles pour tous les opérateurs”.

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Une condition clé du nouveau schéma serait que les arrondissements doivent introduire des trottinettes électriques dans au moins une partie de l’arrondissement. Hounslow affirme que cela signifierait convertir une partie des emplacements de vélos électriques existants en emplacements à usage partagé avec des trottinettes électriques. Si l’arrondissement choisit de ne pas adhérer, son schéma de vélos électriques existant deviendrait “non viable” car les “trajets inter-arrondissements seraient interdits en raison de contraintes opérationnelles”.

Un besoin accru de stationnement

Un rapport récent commandé par Lime appelle à une augmentation des infrastructures de stationnement à Londres. Il recommande une plus grande densité de stationnements dans les zones telles que les centres commerciaux, les hubs de transport et les grandes rues. Le rapport a identifié plus de 750 emplacements de stationnement dans 11 arrondissements, pouvant offrir une capacité de stationnement supplémentaire pour jusqu’à 10 500 vélos électriques partagés.

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