Paris durcira sa politique pour les vélos électriques en libre-service dès 2025

Paris : Réduction de vélos électriques en libre-service pour 2025
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Sommaire

Vers une nouvelle ère des vélos électriques en libre-service à Paris

Une régulation nécessaire

Après la consolidation des acteurs et les tentatives échouées de certains opérateurs, la Mairie de Paris initie la première sélection de candidats pour les vélos en libre-service.

Cependant, le nombre de vélos disponibles sera réduit par rapport à l’offre actuelle. Le libre-service de vélos électriques à Paris n’avait jamais été encadré, contrairement aux trottinettes électriques, qui sont limitées à trois opérateurs. Cette absence de réglementation a permis une expansion quelque peu anarchique, avec notamment RideMovi empêché de se développer.

Un appel à manifestation d’intérêt

Pour remédier à cette situation, la Mairie de Paris lance un Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI). Les entreprises intéressées doivent soumettre leur dossier avant le 31 juillet. Seuls trois opérateurs seront sélectionnés, comme c’est actuellement le cas avec Dott, Lime et Tier. Toutefois, Dott et Tier ont fusionné récemment, limitant ainsi le nombre réel d’opérateurs à deux. Chaque opérateur pourra déployer entre 3 000 et 6 000 vélos, ce qui représente un total de 9 000 à 18 000 vélos en libre-service, moins que la flotte actuelle. Lime dispose notamment de 10 000 vélos et peut atteindre 15 000 pendant les Jeux Olympiques, tandis que Dott-Tier opère 12 000 véhicules.

Un contrat de longue durée

Le contrat proposé durera quatre ans, une durée significative visant à prévenir les faillites et les problèmes techniques. Cette stratégie s’inspire du modèle adopté pour les scooters électriques, par des entreprises comme Cityscoot et Pony, ainsi que la fusion Dott-Tier.

Les candidats potentiels

Quels seront les vélos électriques qui circuleront dans Paris à partir de l’été 2025 ? Lime, l’actuel acteur américain, devrait naturellement se porter candidat, tout comme Dott-Tier. D’autres candidats possibles incluent l’américain Bird et Pony d’Angers, déjà implantés à Bordeaux.

La véritable surprise pourrait venir du britannique Forest, qui gère 15 000 vélos à Londres et souhaite proposer une offre plus écologique à Paris. Forest se distingue par un entretien de 80 % des pièces détachées, y compris le moteur, et un coût réduit de moitié. Cette entreprise utilise des couleurs moins voyantes, évoquant les bancs Davioud et les fontaines Wallace, et a tenté de séduire la maire Anne Hidalgo lors de l’inauguration de la forêt urbaine de la place de Catalogne le 12 juin.

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À suivre

Il reste à voir quels opérateurs seront finalement sélectionnés, la ville n’ayant pas encore annoncé la date de la décision finale pour les vélos en libre-service qui circuleront à Paris.

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