Nio Firefly : une citadine prête pour l’Europe

Une autonomie remarquable pour sa catégorie

La Nio Firefly, nouvelle coqueluche parmi les citadines électriques, prépare son entrée en Europe. Conçue pour concurrencer des modèles renommés comme les Peugeot e-208, Renault 5 E-Tech, Opel Corsa et Citroën ë-C3, elle se distingue par son autonomie. Les informations en provenance de Chine indiquent que la Nio Firefly, grâce à sa batterie LFP de 42,1 kWh fournie par Sunwoda, pourrait atteindre 420 km d’autonomie en cycle CLTC, ce qui correspondrait à environ 370 km en cycle WLTP, couramment utilisé en Europe.

Comparaison avec les rivales européennes

Comparée à d’autres modèles européens, la Firefly affiche de belles performances. Par exemple, la Citroën ë-C3, avec une batterie de 44 kWh, atteint 320 km, tandis que la Renault 5 plafonne à 312 km avec une batterie de 40 kWh. La Peugeot e-208 propose 362 km avec ses 51 kWh et la Hyundai Inster monte à 355 km avec 49 kWh. La Nio Firefly propose donc un rapport autonomie/batterie très compétitif.

Une conception optimisée pour la sobriété énergétique

La Firefly se montre astucieuse sur le plan énergétique. Avec une taille de 4 mètres de long, 1,78 m de large et 1,55 m de haut, elle est dotée d’un moteur arrière de 105 kW. Ses jantes au design aérodynamique, combinées à des pneus à faible résistance au roulement, contribuent à sa faible consommation. Toutefois, les spécifications des pneus pourraient varier entre les versions chinoises et européennes.

Toujours selon les rapports, la gestion optimisée des tensions et la gestion thermique du véhicule font partie des atouts de la Firefly en matière de consommation. Nio a déjà ouvert les commandes pour cette citadine en Chine au prix de 148 800 yuans, équivalent à environ 19 616 euros. Cependant, lors de son lancement prévu en Europe pour le second trimestre de 2025, il est probable que le prix soit plus élevé.